À propos

À propos de Jean-Paul Michon


Mon parcours...

L’atmosphère délétère des milieux industriels où j’ai été amené à travailler après avoir fait de brillantes études en électronique de télécom puis d’autres en automatismes industriels m’a incité à changer d’orientation. Sur les conseils d’un ami, j’ai entamé des études en psychologie à l’Université de Poitiers en France. Cet ami me disait que je cherchais en permanence des réponses pour comprendre l’être humain. J’ai découvert la parapsychologie puis l’astrologie pendant ces études de psychologie.

Après trois années d’études sur les bancs de la faculté, le décès tragique de ma sœur Brigitte avec qui j’étudiais est venu m’atteindre au plus profond de mon âme. J’ai donc changé encore d’orientation pour entreprendre des études en architecture pour lesquelles j’avais des talents car, je voulais trouver une profession qui m’apporte du bonheur.

Lors de mon troisième cycle universitaire à l’UPAG de Grenoble en France, je me suis spécialisé en architecture solaire passive. Après l’obtention de mon diplôme d’architecte, l’exercice de la profession ne correspondait plus à mes valeurs spirituelles à cause des pratiques malsaines dans les milieux de la construction et des travaux publics. Ma passion pour l’astrologie avec cette dimension spirituelle et karmique a fini par répondre à tous mes questionnements.

J’ai donc choisi d’immigrer au Québec afin de me consacrer à plein temps à une carrière d’astrologue professionnel. À Montréal, il était possible de gagner sa vie comme astrologue. J’avais à l’époque quatre enfants en bas âge. C’est à partir de cette époque et grâce à de nombreuses rencontres dans le milieu des astrologues québécois que j’ai découvert mes talents de chercheur.

J’ai donc abordé l’étude de l’astrologie sidérale différente de l’astrologie classique que tout le monde connait. Le zodiaque sidéral tient compte de la précession des équinoxes, alors que l’autre tropicale n’en tient pas compte. J’ai développé une nouvelle approche de l’astrologie qui tient compte de ces deux zodiaques sidéral et tropical qui s’appelle, la théorie du “Double Zodiaque”.

J’ai écrit mon premier livre sur cette astrologie destiné aux astrologues professionnels. Celui-ci rassemblait l’essentiel de mes recherches. Après cette première publication, j’ai continué mes recherches. Je suis allé de découvertes en découvertes.

Quinze années après mon premier livre, j’ai publié un nouvel ouvrage d’astrologie: « Les Cinq Couleurs de l’Astrologie Karmique ». La coloration des cartes du ciel a permis de mieux mettre en valeur les éléments importants de la personnalité comme les talents, les missions de vie, mais aussi certains blocages qu’il est important de comprendre pour de mieux se connaitre.

Aujourd’hui, les astrologues disposent d’un logiciel d’astrologie « AstroPc-Pro » d’Auréas (www.aureas.eu) totalement adapté au Double-Zodiaque. Cette compagnie de logiciel d’astrologie a été la seule à faire évoluer ses logiciels pour qu’ils soient à jours en permanence au fur et à mesure de mes découvertes. Auréas a su être à l’écoute de mes besoins en logiciel. Nous avons aujourd’hui sur le marché un logiciel pour astrologues professionnels totalement adapté à tous les critères du Double-Zodiaque. Les années passent et cette théorie est de plus en plus connue et appréciée par les astrologues. 


PETITE BIOGRAPHIE  DE JEAN-PAUL MICHON

 Celui-ci a étudié dès 1979 l’astrologie spirituelle des Rose-Croix de Max Heindel en France avec Guy Dupuis avant de devenir autodidacte.

 Il avait auparavant étudié l’électronique en section BEP à Nantes. Devant ses excellents résultats, et à titre exceptionnel, il a été orienté vers la section 1ère F3 d’électrotechnique pour obtenir le baccalauréat en 1971. La section électronique n’existait pas à l’époque.

 Après plusieurs expériences dans l’industrie, il entreprend des études de psychologie à la faculté de Poitiers. Celles-ci seront brutalement arrêtées juste avant les derniers examens de licence le 4 avril 1976 à cause du décès par anévrisme de sa jeune sœur Brigitte (20 ans) avec qui il étudiait. 

 Arrivé à la fin de son sursis militaire, il est affecté à Mont-de-Marsan (Landes) au 6ème régiment de parachutiste d’infanterie de marine (6ème RPIMA) en juillet 1976 où il sera formé pour devenir infirmier militaire.

 Après son service militaire et grâce de ses extraordinaires talents de dessinateur, il décide de reprendre des études pour devenir Architecte D.P.L.G. Il obtiendra son diplôme à Grenoble en octobre 1983 après avoir fait les deux premiers cycles universitaires à Nantes.

 Il s’installe comme architecte libéral en Ardèche avec sa petite famille car, il est maintenant marié avec Myrande, la fille de Guy Dupuis. Son quatrième enfant naîtra à Privas (Ardèche) le 1er septembre 1985.

 Déçu par la profession d’architecte, il se réfugie dans l’analyse des cartes du ciel. C’est la raison pour laquelle, il prendra la décision de s’installer au Québec, lors d’un voyage touristique à l’automne 1986.

 Il choisira définitivement la carrière d’astrologue professionnelle en août 1987 en s’installant à Montréal.

 Divorcé en 1993, il a refait sa vie avec une québécoise, Louise Bernier (PhD biochimie). Elle travaille comme conseillère stratégique en propriété intellectuelle. Ils ont eu un garçon né en 2004.

 Il est maintenant le grand-père de sept petits-enfants canadiens.

 Habité par le doute lors de ses consultations, il refuse d’utiliser des données astrologiques non vérifiables comme le côté maléfique des planètes par exemple. C’est grâce ou à cause de ce questionnement permanent qu’il va découvrir l’existence de ces deux zodiaques qui cohabitent dans nos cartes du ciel.

Il a écrit deux livres sur le sujet du Double-Zodiaque (2000 et 2015)


Mon histoire...

Je suis né dans une famille de maraîchers.

La vie m’est apparue compliquée quand on arrive au monde. Enfants, nous sommes soumis à une sorte de conditionnement (d’origine diverse) qui nous demande de performer jusqu’à écraser les autres. Il faut être le meilleur en tout sinon, nous recevons des réprimandes sauvages. Il faut tenter par tous les moyens d’être le premier de la classe même s’il n’y a qu’une seule place pour trente élèves. Au sport, là encore, il faut courir le plus vite. Enfants, nous sommes soumis à une pression de tout bord pour performer pour satisfaire aux parents. 

 Une fois cette période de l’enfance terminée et dès qu’on arrive sur le marché du travail, la pression syndicale dans les entreprises nous met des battons dans les roues afin que l’on soit le plus médiocre possible pour ne pas plaire aux employeurs. Si par malheur on n’a pas compris le système et qu’on veut plutôt performer pour être à la hauteur des engagements pris avec notre patron, alors, tous les moyens sont employés pour nous détruire afin que la médiocrité des autres ne paraisse pas trop évidente. Ce contraste entre les pressions familiales et scolaires pour être le premier en tout se transforme en cauchemar dès qu’on arrive sur ce marché du travail. Pour ma part, je n’ai vécu que des frustrations dans les divers emplois que j’ai occupés. On devait nous apprendre à être médiocre en tout pour satisfaire les fortes têtes dans chaque milieu. 

 J’ai tellement été perturbé par ces mentalités qu’un ami m’a conseillé d’aller faire des études de psychologie pour comprendre la nature humaine parfois si complexe à appréhender. Malheureusement, les trois années que j’ai faites dans cette faculté de psychologie à Poitiers on débouché sur un grand vide qui ne m’ont pas permis de mieux comprendre les être humains. Sauf peut-être lors d’une conférence de parapsychologie dans ce milieu universitaire où il a été question d’astrologie. Les hypothèses de départ en astrologie pour analyser la personnalité sont basées sur la construction d’une carte du ciel qui prend en compte uniquement la date, l’heure et le lieu de naissance. Contrairement à la psychologie qui construit ses théories sur les statistiques et des échantillons de cobayes afin de nous faire entrer dans un profil type classé très rigoureux. Mon propre ressenti me disait que je ne pourrais jamais rentrer dans les cases de ces profils types. Il n’y avait rien là qui puisse s’identifier à qui je suis. Alors que cette hypothèse astrologie ne pouvait pas être plus personnelle. 

 C’est ainsi que j’ai eu l’envie de découvrir cette fameuse astrologie. Malgré les premiers conseils qui me prévenaient de l’impossibilité qu’il puisse y avoir à un tant soit peu de crédibilité, ma conviction était claire. L’astrologie était une science plus que millénaire et tous les astrologues n’avait pas la réputation d’être des charlatans car, beaucoup d’entre-eux était aussi des mathématiciens de haut calibre, voire de renommée mondiale. On pouvait médire autant qu’on voulait sur l’astrologie, mais les médisances venaient systématiquement de gens qui ne l’avait pas étudiée. Leur argument représentait pour moi plutôt une incitation à aller y voir par moi-même.

C’est ce que je fit, malgré la médiocrité des premiers ouvrages abordés, ma convictions était fortement bien encrée. Désormais, mes antennes étaient totalement déployées pour découvrir vers quelle école de pensée astrologique j’aillais frapper.

C’est à la même époque que j’ai vécu un drame de haute douleur. Ma sœur Brigitte avec qui j’étudiais la psychologie est décédée subitement d’un anévrisme. Le choc a été si intense que j’en ai pleuré toutes les nuits pendant plus de six mois. Ce tragique événement avait été placé sur mon chemin pour que je découvre la véritable dimension spirituelle de la vie qui inclut le traumatisme de la mort d’un proche et la découverte de faculté de médiumnité. La communication avec les personnes décédées. J’ai été convaincu d’être resté en communication avec ma sœur d’une certaine façon. 

C’est cet événement qui m’a permis de comprendre que l’astrologie devait aussi avoir une dimension spirituelle et par la suite une dimension karmique qui tien compte de la notion de réincarnation. Il fallait juste que je trouve l’école d’astrologie qui intègre toutes ces dimensions. Cela s’est passé à Nantes en France. J’ai vu une affiche placardé dans un commerce qui annonçait une conférence des Rose-Croix sur les états de conscience. Le 19 janvier 1979, j’ai assisté à cette conférence donnée par Guy Dupuis qui allait changer ma vie sur bien des plans. À cette conférence, il proposait des cours d’astrologie spirituelle. J’avais ce jour-là frappé à la bonne porte.

Sans trop le savoir, cette astrologie allait répondre avec le temps à tout mon questionnement existentiel sur notre raison d’être sur cette planète Terre. J’ai passé de longues périodes à essayer de comprendre la mécanique céleste. Il M’a fallut être persévérant. Toutefois, mon intuition savait que j’étais sur la bonne voie. Autant mes études de psychologie m’avait dirigées vers un cul-de-sac, autant l’astrologie spirituelle était garante de répondre à mes attentes. J’étais enfin sur la bonne voix.

Jamais, je n’avais imaginé au départ une quelconque hypothèse de faire de cette astrologie une profession. C’est la raison pour laquelle après avoir abandonné mes études en psychologie, je m’étais dirigé vers des études d’architecture. J’avais tout pour réussir dans cette profession. J’adirais le dessin ainsi que tous les métiers du bâtiment. J’avais d’ailleurs payé toutes mes études en travaillant comme électricien de maintenance dans l’industrie. Toutefois au fur et à mesure que j’avançais dans mes études d’architecture, l’astrologie commençait à ressortir par tous les pores de ma peau. Malgré mes engagements universitaires à étudier l’architecture, les livres d’astrologie prenaient de plus en plus de place. Je me souviens du livre « Le message des astres » qui a été longtemps mon livre de table de chevet. Je n’arrêtais pas de le lire et de le relire avec une sorte de frénésie. 

Par la suite, j’ai pris l’habitude d’analyser les cartes du ciel de toutes les personnes que je connaissais. Je prenais soins de lister tous les aspects de leurs cartes du ciel pour découvrir le rapport entre leur personnalité et le contenu de la carte du ciel. Petit à petit, comme une photo se révèle dans son bain d’acide, les cartes du ciel ont commencé à me parler de plus en plus clairement. Comme une drogue, plus j’en analysais et plus j’avais de satisfaction à maitriser cette science. Entre cette première rencontre avec Guy Dupuis et la certitude de vouloir consacrer ma vie à analyser ces cartes du ciel professionnellement, il s’est passé sept ans. Après mes études d’architecture, je suis passé de l’enseignement à la profession libérale pour finir comme directeur des travaux publics à Saint-Claude dans une municipalité du jura. Toutes ces expériences dans le domaine de l’architecture étaient contaminées par le manque d’intégrité de tous les intervenants. Pour une personne consciente des lois de causes à effets karmique, ces pratiques malsaines me mettaient mal à l’aise. C’est ainsi qu’à Noël 1986, j’ai reçu une proposition pour devenir directeur d’une maison d’édition en astrologie. Bien que mon intention était d’accepté, le destin m’a amené à choisir d’émigrer au Québec pour se consacrer entièrement à ma passion pour l’astrologie. J’ai débarqué de l’avion à Mirabel le 17 août 1987 avec famille et bagage pour une nouvelle vie remplie de surprises. Toutes les pièces de mon destin se sont présentées à moi comme si Dieu avait été là pour me préparer le terrain de mon aventure astrologique.


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